Les bourses mondiales ont connu ces derniers mois une plus grande volatilité liée aux incertitudes sanitaires, géopolitiques et aux tensions inflationnistes. Le contexte est plus difficile à comprendre pour les investisseurs et ils s’interrogent sur les conséquences à venir.

Découvrez sur cette page les dernières analyses des experts de Natixis IM sur les marchés financiers.

FAQ :  CONSÉQUENCES DU CONFLIT RUSSIE / UKRAINE

Découvrez les questions / réponses que vous pouvez vous poser sur ce contexte géopolitique et ses impacts sur l'économie et vos investissements.

 

7 RAISONS D'INVESTIR
DANS LES OPC

Retrouvez les 7 meilleures raisons qui vous convaincront de continuer à investir dans les organismes de placements collectifs (OPC).

 


5 ASTUCES
À GARDER EN TÊTE


Une infographie complète, détaillée et explicative des astuces à garder en tête lorsque les marchés sont chahutés.

LE FLASH DES MARCHÉS FINANCIERS
Avec Nuno Teixeira, 
Responsable de gestion cross-asset, Natixis IM Solutions


Le 19 mai 2022
A découvrir dans l'émission cette semaine : 

Cette semaine on entend beaucoup parler du risque de récession, c'est donc ce que nous analysons ensemble dans cette émission : 
  • Entre hausse des taux d’intérêt et hausse des coûts de production, les économies mondiales et européennes sont-elles menacées ?
  • Les marchés financiers anticipent-ils un tel phénomène de récession ?

 
Avec Pierre Barral, 
Responsable de gestion cross-asset, Natixis IM Solutions


Le 12 mai 2022
Avec Pierre Barral, 
Responsable de gestion cross-asset, Natixis IM Solutions


Le 5 mai 2022
A découvrir dans l'émission cette semaine : 

Tout d'abord l'évènement majeur de la semaine avec la forte remontée des taux annoncée par la Banque Centrale américaine (FED). Nous reviendrons ensuite évidemment sur le contexte géopolitique de plus en plus tendu et dégradé, avant d'évoquer enfin le cas de la Chine qui n’en finit pas d’être confinée et qui peine à se réveiller économiquement. 
 
Avec Pierre Barral, 
Responsable de gestion cross-asset, Natixis IM Solutions


Le 28 avril 2022
Avec Nuno Teixeira, 
Responsable de gestion cross-asset, Natixis IM Solutions


Le 22 avril 2022
Philippe Waechter,
Directeur de la recherche économique chez Ostrum Asset Management.


Le 21 avril 2022
Deux mois après le début de la guerre en Ukraine, comment va l’économie française ? 
 
L'incertitude n’a pas encore pénalisé la dynamique de l’économie française. Les chefs d’entreprises considèrent que l’activité est élevée et ils ne sont pas inquiets sur l’emploi.
Les trois principaux risques sont l’environnement international avec la récession allemande, les difficultés d’approvisionnement avec le confinement chinois et le prix de l’énergie élevé...

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Avec Nuno Teixeira, 
Responsable de gestion cross-asset, Natixis IM Solutions


Le 14 avril 2022
A découvrir dans l'émission cette semaine : 
 
S'il n'y a pas eu de mouvements sur les marchés suite au premier tour des élections présidentielles françaises, il y a en revanche toujours un point de vigilance sur le contexte inflationniste que nous analysons cette semaine. Nous nous attardons également sur le cas de la Chine qui est à contre courant des économies américaine et européenne et dont la croissance anticipée cette année sera probablement inférieure à 5%, on vous explique pourquoi.
Avec Nuno Teixeira, 
Responsable de gestion cross-asset, Natixis IM Solutions


Le 7 avril 2022
Avec Nuno Teixeira, 
Responsable de gestion cross-asset, Natixis IM Solutions


Le 31 mars 2022
Philippe Waechter,
Directeur de la recherche économique chez Ostrum Asset Management.


Le 29 mars 2022
Les ménages français face à un horizon bouché et des prix qui s’envolent 
 
La confiance des ménages a fortement chuté en mars après l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Un recul du même ordre avait déjà été constaté dans l’estimation de la confiance des ménages pour la zone Euro.
L’indice de mars est proche des plus bas constatés lors de la pandémie.

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Avec Pierre Barral, 
Responsable de gestion multi-asset, Natixis IM Solutions


Le 24 mars 2022
Marc Riez,
DG, Vega IM


Le 23 mars 2022
Avec Nuno Teixeira, 
Responsable de gestion cross-asset, Natixis IM Solutions


Le 17 mars 2022
Jean-Jacques Friedman,
Directeur des investissements, Vega IM


Le 15 mars 2022
Philippe Waechter,
Directeur de la recherche économique chez Ostrum Asset Management.


Le 15 mars 2022
Quels scénarios pour les hausses des matières premières ?
Avec Pierre Barral, 
Responsable de la gestion multi-asset, Natixis IM Solutions


Le 10 mars 2022
Marc Riez,
DG, Vega IM


Le 8 mars 2022
Thomas Planell,
CFA, Gérant - analyste chez DNCA


Le 4 mars 2022
Crise ukrainienne vue par la gestion Multi Asset de DNCA
 
A Tbilissi, rendant visite à sa mère qui s’enquit de ce que devenait son fils, Staline répondit : « Oh, tu sais maman… une sorte de tsar. »

Au travers de deux livres saisissants, Simon Sebag Montefiore (Staline : La cour du Tsar rouge, publié un an avant la révolution orange en Ukraine) et Mikhail Zygar (Les hommes du Kremlin, dans la cour de Vladimir Poutine publié 2 ans après l'annexion de la Crimée) ont mis en lumière à quel point l’organisation du pouvoir détenu par ces deux protagonistes éponymes est proche du régime de la cour tsariste...


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Philippe Waechter,
Directeur de la recherche économique chez Ostrum Asset Management.


Le 2 mars 2022
L’inflation accélère en zone Euro, ce n’est pas fini 
 
Le taux d’inflation en zone Euro s’est inscrit à 5.8% en février 2022 contre 5.1% en janvier.
Le taux d’inflation sous-jacent s’est établi à 2.7% contre 2.3% le mois précédent...

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Philippe Waechter,
Directeur de la recherche économique chez Ostrum Asset Management.


Le 28 février 2022
La Russie, les sanctions et la révolte de son peuple 
 
Les sanctions sur la banque centrale russe vont limiter sa capacité d’intervention notamment sur les marchés des changes et provoquer la baisse de la monnaie russe...

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Frank Trividic,
Directeur Adjoint des Gestions, Responsable de la gestion Multi Asset chez Seeyond.


Le 24 février 2022
Crise ukrainienne vue par la gestion Multi Asset de Seeyond 
 
La décision de Vladimir Poutine de lancer une attaque sur l’ensemble du territoire ukrainien met fin aux derniers espoirs d’une solution diplomatique à court terme. Un engrenage défavorable d’un point de vue économique est désormais inévitable, avec des mesures de rétorsion de la part des pays occidentaux qui seront obligatoirement importantes, avec un impact macro-économique qui reste à évaluer.

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Philippe Waechter,
Directeur de la recherche économique chez Ostrum Asset Management.


Le 24 février 2022
Russie -  Quelques reflexions 
 
L'action militaire de la Russie en Ukraine a fait bondir le prix du pétrole au-dessus de 100 dollars le baril. La deuxième phase de l’opération russe, après les annonces de lundi, a commencé...

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Thomas Planell,
CFA, Gérant - analyste chez DNCA


Le 18 février 2022

De 1941 (Pearl Harbor) à 2003 (Guerre en Irak), les marchés actions ont plutôt bien résisté aux conflits militaires. Ils sont même en performance positive, dans la majorité des cas, dans les 90 jours qui succèdent aux premiers coups de canon. Au-delà, l'espérance mathématique de gain augmente : entre six mois et un an ils sont plus de deux fois sur trois en hausse.
Quelques exemples : un an après Pearl Harbor, le S&P500 effaçait ses pertes; +9% un mois après le début de la crise des missiles de Cuba, en 1962, l'indice s'adjugeait 9% puis 32% au bout d'un an sans que la menace de guerre nucléaire ne disparaisse vraiment ; +5,6% dans le mois qui suit l'invasion soviétique de l'Afghanistan… succédant à une belle année boursière malgré la crise des otages en Iran (+24%) ; +10% un an après l'invasion du Koweït par l'Iraq, +33% un an après la guerre du Golfe, +10% un an après le coup de Gorbatchev, +28% un an après l'offensive américaine en Iraq en 2003…
Bref, en dehors des crises concomitantes ou directement génératrices d'une récession ( la crise du Canal de Suez en 1956, l'embargo pétrolier de 1973 et les attentats du 11 septembre 2001 survenus en plein choc économique), le vieil adage boursier a donc tendance à se vérifier. Ce fut également le cas en 2014 : les marchés se sont peu émus de l'annexion de la Crimée par la Russie. Les sociétés occidentales sont assez peu exposées à ce marché dominé par les partenaires commerciaux locaux.
Les plus sanctionnées ont été celles (assez peu nombreuses) dont les activités situées en Russie auraient pu indirectement pâtir des sanctions à l'égard de la Fédération. Mais finalement, un mois après le début d'une annexation sans résistance ni effusion de sang, le DAX ne cédait plus que 2%. Le Stoxx 600 Europe 1%. Les valeurs pétrolières ne surperformant que très légèrement le reste de la cote.

Les marchés pourraient cependant être un peu plus sensibles à une escalade militaire en Ukraine qu'en 2014. La situation énergétique en Europe est en effet particulièrement tendue depuis plusieurs mois. Une fermeture des vannes ukrainiennes de deux ou trois semaines pourrait aboutir à une augmentation supplémentaire de 10 à 20% des prix du gaz qui culminent déjà. Cela pourrait coûter 15 à 20 points de base à la croissance économique de la zone euro en raison de l'effet des prix de l'énergie sur la consommation des ménages et des risques de rupture d'approvisionnement de l'industrie combinées aux ralentissements des cadences de production (dans la chimie par exemple).
Par ailleurs, en réponse à d'éventuelles sanctions européennes sur Nord Stream 2, la Russie pourrait également choisir de peser plus durablement sur l'approvisionnement du continent ce qui pourrait aggraver ce pronostic, notamment pour l'Allemagne. D'ailleurs, l'indice DAX, dépourvu de pétrolières, dans lequel les secteurs de la chimie ou des biens et services industriels très énergivores sont fortement représentés pourrait être l'indice le plus fragile. S'il fournit 35% de la demande européenne, le gaz livré à l'ouest génère des recettes vitales pour la Fédération de Russie.
Comme le disait l’ex Premier Ministre Igor Shuvalov au G8 de Saint Pétersbourg en 2006 "finalement nous - les Russes- sommes plus dépendants que vous - les Européens - à ces échanges". D'ailleurs, depuis l'opération Barbarossa de 1941, la Russie n'a jamais durablement cessé d'exporter vers l'Occident. Si l'on écarte le scénario difficile à quantifier d'une guerre ouverte Otan-Russie, le principal risque posé par une invasion russe pour l'Europe est donc celui d'une remise en question temporaire de sa sécurité énergétique. Ce risque d'instabilité des approvisionnements pourrait donc faire peser sur les actions européennes une prime de risque supérieure à celle de 2014, au moment de l'annexion de la Crimée.
A l'époque, selon Goldman Sachs, le rendement supplémentaire exigé par les investisseurs internationaux s'était très modestement renchéri (+14 points de base seulement). Cette fois-ci, la banque américaine pense que les tensions énergétiques sont telles qu'elles pourraient couter un point de PER au marché européen. Le MSCI Europe dont la valorisation s'est dégonflée depuis janvier 2021 passerait ainsi de 14,5 à 13,5 fois les bénéfices des douze prochains mois. Cela correspondrait à un rendement bénéficiaire comptable de 7,4%, pour l'investisseur optimiste qui se tiendrait prêt à investir au son du canon…

Bien sûr, en l'espèce, cette crise revêt des caractéristiques uniques pouvant laisser penser que "cette fois, c'est différent"… Outre les tensions énergétiques, le contexte politique diffère de 2014 et crée un engrenage préoccupant. Exacerbées par Trump depuis 2016, les tensions sino-américaines en mer de Chine contraignent Biden à adresser un message fort à Xi Jinping en se montrant intraitable avec Poutine. Ce dernier, qui rumine depuis plus de 15 ans le projet de prendre sa revanche sur les velléités subversives de l'Ukraine fait de l'antagonisme avec l'Ouest le fer de lance de sa doctrine de "démocratie souveraine".
Mais il existe encore de nombreuses portes de sortie à ce conflit pour l'instant diplomatique. Dans les deux camps, des nombreux leviers de négociations sont actionnables et chaque jour qui passe accroît le coût humain d'une offensive pour l'armée russe face aux 200.000 personnels réguliers de l’Ukraine équipés depuis janvier de 200 millions de dollars de matériel américain… Puisse Poutine, dont les premiers jours de présidence ont été marqués par la gestion calamiteuse du naufrage du Koursk se rappeler que la dernière fois que la Russie s'est mise le monde à dos, cela lui a coûté un Tsar, et la Crimée.
C'était en 1856…
Nuno Teixeira, 
Directeur de gestion cross-asset, Natixis IM Solutions.
 

Point mensuel « Marchés & allocations » – Janvier 2022

 
Philippe Waechter,
Directeur de la recherche économique chez Ostrum Asset Management.


Le 3 janvier 2022
Les nouvelles mesures sanitaires et la croissance 
 
La hausse du taux d’incidence en France a forcé le gouvernement à présenter de nouvelles mesures afin de lutter contre la propagation rapide du virus.
La logique est la suivante: le fort taux d’incidence provoque un risque d’engorgement des systèmes de santé. Les hôpitaux ne peuvent plus fonctionner de façon équilibrée. Le coût humain s’accroit rapidement obligeant à prendre des mesures encore plus restrictives pour limiter la circulation du virus. Le risque alors est de peser sur l’activité économique.

Lire la suite de l'article
Le 17 décembre 2021

Point mensuel « Marchés & allocations » – Décembre 2021
 
Le mois de novembre a été surprenant avec un début très positif et des records battus sur les indices boursiers. Et puis une deuxième phase plus troublée, plus volatile avec des reculs en particulier en Europe.  On fait le point avec Nuno Teixiera, Directeur de gestion cross-asset chez Natixis Investment Managers Solutions.
 
Voir la vidéo de Nuno Teixeira
Pierre Barral,
Directeur de la gestion flexible chez Natixis Investment Managers Solutions.

Le 29 novembre 2021

VARIANT OMICRON ET 5ème VAGUE – LES IMPACTS POUR LES PORTEFEUILLES

Que s’est-il passé depuis jeudi dernier ?


Les marchés d’actions ont subi des reculs importants en fin de semaine dernière, à mesure que les investisseurs prenaient connaissance des derniers développements liés au variant sud-africain Omicron. L’indice MSCI World a cédé près de 3% vendredi et l’EuroStoxx50 près de 4,4% soit la plus forte baisse journalière en plus d’un an. 

Dans le même temps, les marchés de dette souverains ont bénéficié d’une fuite vers la qualité : les taux à 10 ans allemand ont replongé de -0.22% à -0,34% et le 10 ans américain est également passé de 1,66% à 1,47% avant de se reprendre à 1.53%. A noter que les spreads de crédit se sont toutefois élargis : alors que les investisseurs s’inquiétaient davantage de l’impact du risque de duration sur leurs portefeuilles d’obligations privées, c’est davantage de la prime de risque que sont venues les pertes, alors que la duration a amorti la baisse.

Les marchés retrouvent ce matin un semblant de calme, alors que les autorités sud-africaines précisent qu’il n’y a aucune indication suggérant que le nouveau variant du virus soit plus dangereux et soulignent que 80% des hospitalisations constatées sont des personnes non vaccinées. Les vaccins actuels semblent donc toujours limiter le risque de cas graves. A l’heure où nous écrivons ces lignes les indices européens rebondissent d’environ 1% et les futures américains sont également en progression modérée.



Que savons-nous à ce stade ?

Les experts semblent unanimes à considérer que ce variant est plus transmissible que les précédents, ce qui devrait faire grimper fortement le nombre de cas. Par ailleurs, les gouvernements et scientifiques sont unanimes à considérer que les restrictions aux déplacements ne fonctionnent pas, même si le Japon et Israël ont d’ores et déjà fermé leurs frontières aux vols internationaux. Le nouveau variant semble circuler dans de nombreux pays. Enfin, Moderna a déjà affirmé qu’un vaccin reformulé et adapté au nouveau variant sera disponible dès le début de l’année prochaine.

L’Europe est plus exposée au défi épidémique que les Etats-Unis, ce qui est de nature à pénaliser les actifs européens au cours des prochaines semaines. La situation s’est en effet fortement détériorée en Europe du Nord, notamment en Allemagne, aux Pays-Bas et en Autriche, qui totalisent 42% du PIB de la zone euro. C’est donc désormais l’Europe qui tire à la hausse les cas de Covid dans le monde, ce phénomène n’ayant évidemment encore rien à voir avec l’apparition du variant sud-africain Omicron.
 
L’impact macro-économique devrait néanmoins être relativement modéré à l’échelle européenne, car les taux de vaccination protègent les européens d’un flux massif d’hospitalisations susceptibles d’entraîner des confinements aussi brutaux et stricts que ceux observés au printemps 2020. La sensibilité macro a reculé à chaque nouvelle vague de Covid (d’un facteur 4 entre début 2020 et fin 2021) et on peut donc espérer que cela reste le cas cette fois-ci, d’autant que la dynamique économique a été très solide jusqu’à présent malgré la persistance de goulots d’étranglement et de la crise de l’énergie. Il convient évidemment suivre les admissions à l’hôpital en Allemagne, Autriche et Pays-Bas, mais l’arrivée de la 3ème dose est de nature à limiter l’accélération des cas graves dans les prochains mois (même si seulement 7% de la population de l’UE l’a reçue contre 20% aux Royaume-Uni).

En dépit de la tentation de beaucoup d’acheter ce recul (le fameux « buy the dip » ayant toujours fonctionné depuis mars 2020), les investisseurs s’interrogent toujours sur le fait de savoir si l’émergence du variant Omicron constituera une frayeur temporaire pour les marchés ou s’il peut constituer un choc plus durable pour la reprise économique. L’émergence de ce nouveau variant complique également la politique monétaire, les investisseurs ayant d’ores et déjà décalé d’un mois la date du premier relèvement de 25bps des taux directeurs américains de juin à juillet. Avec cette nouvelle vague, la croissance européenne, qui était sur une pente de l’ordre de 4% au 4ème trimestre et au 1er trimestre 2022, pourrait revenir vers 3%.



Que faisons-nous dans nos portefeuilles ?

Nous pensons que le laps de temps nécessaire aux laboratoires spécialisés pour réagir efficacement face à ce variant pourrait durer quelques semaines pendant lesquelles la volatilité restera élevée. Durant cette période, il ne nous paraît pas opportun de chercher à tous prix à profiter de ce mouvement et nous décidons de ne pas renforcer le risque actions dans nos portefeuilles. En effet, à l’approche de la fin d’année, nous avions déjà commencé à réduire le risque de nos portefeuilles en anticipation d’une reprise de la volatilité et attendrons d’y voir plus clair sur les moyens de faire face à ce nouveau variant avant de reprendre du risque. 
Sur le taux, il est fort probable que les restrictions apportées par chaque état en réponse à ce nouveau risque va peser sur les délais de livraison encore très impactés par les embouteillages dans les ports. Les pénuries de matières premières mettront sans doute plus de temps encore à se résorber renforçant ainsi les anticipations que le mouvement récent sur l’inflation pourrait être plus durable qu’anticipé jusque-là. Le dilemme des banques centrales n’en sera que renforcé, mais nous pensons que la pression sera maintenue à la hausse sur les taux d’intérêt souverains. Par conséquent, nous décidons de maintenir notre sous pondération obligataire ainsi que notre approche prudente sur le risque crédit. 

 
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Le 19 novembre 2021

Point mensuel « Marchés & allocations » – Novembre 2021
 
Le mois d'octobre a été très positif pour les marchés actions, mais les inquiétudes concernant l'inflation sont toujours vives. Qu'attendre des derniers mois de l'année ? On fait le point avec Nuno Teixiera, Directeur de gestion cross-asset chez Natixis Investment Managers Solutions.
 
Voir la vidéo de Nuno Teixeira
Le 18 octobre 2021

Point mensuel « Marchés & allocations » – Octobre 2021
 
Si le dernier trimestre a été bon sur les marchés financiers, le mois de septembre marque une légère rupture. Faut-il s'inquiéter ? On fait le point avec notre expert Nuno Teixeira, directeur de gestion cross-asset chez Natixis Investment Managers Solutions.
 
Voir la vidéo de Nuno Teixeira
Le 14 septembre 2021

Point mensuel « Marchés & allocations » – Septembre 2021
 
Le mois d'août a été très positif sur les marchés actions, malgré les inquiétudes que fait peser la pandémie de Covid-19. On vous propose de décrypter l'actualité des marchés avec Nuno Teixeira, directeur de gestion cross-asset chez Natixis Investment Managers Solutions.
 
Voir la vidéo de Nuno Teixeira
Le 3 septembre 2021

USA - Le retour du virus
 
Les 235 000 créations d’emplois du mois d’août sont très inférieures aux attentes. Le consensus était à 750 000 pour le mois d’août. Ce chiffre était cohérent avec les emplois disponibles au sein des entreprises.
 
Consulter l'article de Philippe Waechter
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